Intérêt : Parlez-lui de son problème
Aller vers un télétravail bénéfique pour tous … ?
Pire : La crise sanitaire a déjà laissé des traces. Le « télétravail de confinement » a généré parfois des réussites mais aussi de vraies difficultés dans les équipes. Vous en constatez déjà les effets.
Le pire du pire : Certains collaborateurs se posent la question de leur niveau d’engagement vis-à-vis de l’entreprise. Ils remettent en question le modèle d’organisation du travail. Ils suggèrent des changements importants, en commençant par le télétravail pour tous, à la carte, un management basé sur la confiance, des outils collaboratifs et un matériel adéquat.
Mais une partie du management reste réticent à ce mode de travail.
L’équation devient très complexe, et potentiellement coûteuse …C’est un enjeu qui touche la stratégie de l’entreprise.
Vous pensez qu’il est important de mieux appréhender la situation dans sa globalité et sa complexité, pour agir en conséquence.
Mais comment s’y prendre ?
Vous souhaitez faire le bon choix pour l’avenir en matière de mode de travail : celui qui vous permettra à la fois de maîtriser au maximum vos frais généraux, développer votre efficacité opérationnelle et renforcer votre marque employeur.
Bref, dépenser moins et mieux et attirer les talents
Le télétravail est un mode de fonctionnement qui repose sur l’autonomie et la confiance et qui exige la mise en place d’un environnement spécifique, d’un point de vue technologique, organisationnel, immobilier et managérial.
La méthode des mauvaises élèves :
"Une VRAIE promesse est un engagement aux RÉSULTATS dont les objectifs sont co-construits "
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Pourquoi, je fais l’éloge des « mauvais élèves », moi l’ancienne cadre dirigeant d’un grand Groupe international ?
Une conversation qui m’a fait quitter l’entreprise dans laquelle j’avais passé plus de 20 ans…
un jour je me retrouve face à mon nouveau « sponsor ». Il m’explique que : « Hélène, s’intéresser à des projets humains est tout à ton honneur, mais l’entreprise n’a, aujourd’hui, plus les moyens ».
J’ai été profondément choquée par ce raisonnement financier, froid, technocratique.
Il est non seulement totalement à côté de mes valeurs, mais aussi, de mon point de vue, contraire à l’intérêt de l’entreprise et de ses salariés. A mon sens un vrai manque de vision et d’éthique.
La goutte qui a fait déborder un vase déjà plein !
Je n’accepterai plus de faire partie de cette culture qui est de mon point de vue perdante pour tous, perdante tant pour notre présent que notre futur.
C’est pourtant il y a plus de 20 ans, j’ai découvert dans cette entreprise une culture d’entreprenariat humaniste, sociétalement engagée et responsable.
J’y ai appris les fondements des bonnes pratiques de management, pas très loin de l’agile finalement, parce que pleines de bon sens, pragmatisme, avec la volonté de mettre l’humain au centre et tournée sur le client et l’efficacité.
Les valeurs humaines
Courage, loyauté, esprit d’équipe, impertinence raisonnée, respect et intégrité…
Il y avait aussi cette volonté de travailler le plus sérieusement possible, sans se prendre au sérieux.
J’ai toujours apprécié, au-delà des valeurs, l’ouverture, la rigueur, l’exigence de résultats, et la capacité qui nous a été donnée d’être curieux et d’apprendre de nouveaux métiers.
J’ai pu passer de l’actuariat au pilotage de projets, à l’informatique, à la transformation.
J’ai été amenée tout au long de ma carrière, à prendre des responsabilités, pour piloter des projets d’envergure, mettre en place et diriger des organisations dans des environnements exigeants.
D’une part, nous étions valorisés pour les résultats obtenus, et appelés à prendre en main les projets les plus difficiles, la plupart très transversaux.
Et d’autre part, nous dérangions.
A cause d’un trait de caractère qui nous différenciait, et qui n’était pas toujours apprécié ou compris dans l’entreprise.
Lequel ?
Une forme d’esprit rebelle.
Mauvais élève !
J’aime faire un pas de côté et regarder les choses sous un autre angle. J’apprécie la notion de frugalité, j’aime être avare de l’énergie dépensée dans le sens éthique du terme, pour trouver les voies les plus simples, rapides et efficaces.
J’ai aussi un certain franc parler (critique bienveillante) et j’acquière avec l’expérience une liberté d’avancer sans réel compromis.
C’est à mon avis tout cela qui nous a permis de mener à bien des transformations dans l’intérêt commun des salariés et de l’entreprise. En étant parfois, c’est vrai, un peu poil à gratter…
Ma conviction
Il faut bousculer l’ordre établi, le dénoncer et s’en affranchir quand il n’est plus dans la mission et l’intérêt de l’entreprise, il faut prendre nos responsabilités en tant que citoyen, et construire ensemble un monde du travail plus libre, et respectueux de notre environnement.
Pour prendre du plaisir à coconstruire une partie du monde du travail de demain, humainement respectueux, économiquement pérenne.